18h45, je rentre de Cahors : excellente manifestation improvisée avec un superbe derrick informatif, les banderoles géantes du collectif de Dordogne. distribution de cartes postales "opération sans culotte 2012", tournage reportage, journalistes locaux présents... Lot et Garonne, Lot, Dordogne >> présents. Pour le nombre demander au RG présent et aux gendarmes en nombre : je n'ai pas compté ! ...une centaine de personnes, peut-être plus?! Il est question d'en refaire une comme celle du 17 avril 2011 où nous étions plus de 5000 citoyens dans les rues, pour 10 000 attendus par les RG de l'époque. Mobilisation à peine cassée par l'annonce de la loi interdisant la fracturation hydraulique avec failles juridiques! Alors, Amis résistants, c'est le moment de ressortir chanter en partisans du NON au gaz et huile de schiste, ni ici, ni ailleurs, ni aujourd'hui, ni demain !
samedi 14 janvier 2012, devant préfecture de Cahors. Une centaine de personnes ( pardon, terroristes!) rassemblées pour une manifestation informative, place Jean Jacques Chapou. Photo JL Vialard. La prochaine fois, il faut un grand angle ! ;-) et nous allons organiser UNE IMMENSE MANIFESTATION DANS LES SEMAINES A VENIR. photos JL Vialard.
samedi 14 janvier 2012, place JJ Chapou, manif devant préfecture de Cahors. stand informatif décroissant et mobile. merci les éclopés terroristes Daniel Riffet et Thierry Timix !
------- reçu , dernière minute. Service de presse
Pour information :
Conférence de presse « Gaz et huile de schiste : le principe de précaution »
Mardi 17 janvier se tient en salle Vaugirard à 13h45 une conférence de
presse "gaz et huile de schiste : le principe de précaution".
Cette conférence est à l'initiative du Président (EELV) d'un collectif
anti-gaz de schiste 77.
Le collectif anti-gaz de schiste souhaitait organiser une « contre réunion »
informative ouverte à la presse à celle qui se tient le même jour, à la
Maison de la Chimie, en présence de NKM. Principalement dans le viseur, la
table-ronde 3 intitulée « l'interdiction française, comment en sortir ? »,
animée par les différents DG de Toreador, Hess Oil, Total, Vermilion… Pour
information, la Région Ile-de-France organise également un contre-événement
informatif à cette table-ronde.
Il est prévu que des intervenants extérieurs prendront la parole au cours de
cette conférence de presse:
André Picot, directeur de recherche CNRS, toxicochimiste expert auprès de
l'UE, Président de l'Association de Toxicologie – Chimie, Paris ;
Dominique Jourdain, Président d'honneur des ECO-MAIRES de France,
porte-parole du Collectif CARMEN ;
Jean-François Delesalle, maire de Doue 77, (permis accordé à Toréador –
Hess.
Laurence Rossignol (secrétaire natinale à l'environnement) et Ronan Dantec
pour les verts sont mobilisés pour intervenir.
Les sénateurs particulièrement mobilisés sur ce sujet, notamment lors de
l'examen de la PPL Jacob en séance en juin dernier, sont cordialement
invités à y participer.
Johanna O'Byrne
Groupe Socialiste du Sénat
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Je vais à Cahors manifester devant la préfecture rejoindre mes concitoyens et amis lotois en résistance contre le gaz et l'huile de schiste, la pollution irréversible de notre eau potable à tous et de nos paysages, en solidarité avec les autres citoyens d'Europe et POUR une politique alternative de l'énergie. Stéphanie, Marianne des causses.
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"
L'association NGSPC encourage toutes les actions non violentes qui iront dans le sens du NON AU GAZ DE SHISTE ICI ET AILLEURS ET OUI AUX ALTERNATIVES GRACE AUX ENERGIES RENOUVELABLES, que ces initiatives soient personnelles, qu'elles émanent d'une association, d'un collectif local ou de toutes autres structures.
Pour info une manifestation est organisée samedi 14 janvier à Cahors
DEVANT LA PRÉFECTURE DE CAHORS PLACE CHAPOU A 14H.
Des conférences de presse simultanées sont organisées devant les Préfectures et les Sous Préfectures des zones concernées par les différents permis avec demande d'audience auprès des préfets et des sous-préfets le Mardi 17 janvier vers 18h (info plus précises dimanche pour les lieux et heures exactes ).
Pour le CA
chargé du courriel
Courage à nous
Merzouk"
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cahors 14h : APPEL A MANIFESTATION LE 14 JANVIER 2012
DEVANT LA PRÉFECTURE DE CAHORS PLACE CHAPOU.
A L'APPEL DES CITOYENS ET DES GROUPES
« VIGILANCE 46 NON GDS »
« COMITÉ DE VIGILANCE INTERNATIONAL ANTI GAZ ET HUILE DE SCHISTES. »
« COLLECTIF 82 NON AU GAZ DE SCHISTE ET OUI AUX TRANSITIONS ÉNERGÉTIQUES »
MOUVEMENT ANTI NUCLÉAIRE LOTOIS
« POUR UNE TERRE VIVANTE »
EN SOUTIENT AU MOUVEMENT
« L'OPPOSITION CITOYENNE DANS TOUT SES ÉTATS »
« NO FRACKING FRANCE »
A PARIS le 17/01/2012
et
« OPÉRATION SANS CULOTTES 2012 »
EN SOUTIENT AU MOUVEMENT AMÉRICAIN
DE PENNSYLVANIE
« RASSEMBLEMENT COMMUNAUTAIRE DES DROIT »
A HARRISBURG Le 17/01/2012
EN SOUTIENT AU MOUVEMENT
DES »INDIGNES »
A A BORDEAUX le 14/01/2012
EN SOUTIENT AU MOUVEMENT BULGARE
« CONTRE L'EXTRACTION DU GAZ DE SCHISTE ET TCHERNOBYL »
A SOFIA et a LONDRES le 14/01/2012
nous inaugurerons notre "derrick citoyen" symbole de notre détermination a dire NON et a nous faire entendre.
A 100 jours des prochaines élections , il est temps de faire pression sur nos politiques de tout bord pour que le sujet de l'énergie soit le principal sujet de l'élection présidentielle.
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source :
http://www.journaldelenvironnement.net/article/gaz-de-schiste-la-colere-internationale-monte,27014
Royaume-Uni, Etats-Unis, France, l'utilisation de la fracturation hydraulique fait toujours débat.
Eldorado énergétique pour les compagnies gazières, l'exploitation des gaz non conventionnels suscite une angoisse certaine chez ceux qui sont appelés à vivre —volontairement ou non— à proximité des forages. En début de semaine, une réunion d'information avec les dirigeants Cuadrilla a failli virer au pugilat avec les habitants de Balcombe. Dans ce paisible village du Sussex, personne ne veut vivre à l'ombre des derricks, dans la hantise de la terre qui tremble (c'est arrivé à Blackpool à quelque 400 kilomètres de là) ou d'une nappe phréatique devenue impropre à tout usage.
Sur l'autre rive de l'Atlantique, la contestation de l'omnipotence des foreurs se fait jour. Après trois ans de moratoire, l'Etat de New York envisage d'autoriser à nouveau l'utilisation de la fracturation hydraulique dans les forages d'exploration de gaz de schiste. Albany a donc élaboré une nouvelle réglementation qui a été soumise à la concertation. Avec raison. Pas moins de 20.000 commentaires ont été adressés au ministère local de la protection de l'environnement (DEC). Un chiffre rarement vu dans une consultation publique de ce genre. S'ils craignent essentiellement de voir se dégrader la qualité de leur eau, les habitants du State Empire ne veulent pas non plus que leur région ressemble à la Pennsylvanie, où l'on recense près de 200.000 forages.
Chez les médecins aussi, des voix commencent à s'élever. Lors d'une récente conférence sur cette technique controversée, Jerome Paulson (école de médecine de l'université George Washington de Washington) a appelé les compagnies gazières à financer une fondation pour étudier les conséquences sanitaires de la fracturation hydraulique. Adam Law, un endocrinologue de l'école de médecine Weill Cornell de New York estime, lui, qu'il faut imposer un moratoire sur l'hydrofracturation dans les zones habitées, le temps que la question des effets sur la santé soit tranchée. Une proposition soutenue par Jerome Paulson, dont les études sont financées par l'agence fédérale de protection de l'environnement (EPA) et par les centres fédéraux pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC)
Cette demande s'appuie notamment sur le fait que l'EPA a confirmé, il y a quelques semaines, que des nappes phréatiques du Wyoming avaient très probablement été contaminées par des glycols, du benzène et du méthane des forages de gaz de schiste situé à proximité[
JDLE]. Dans l'Ohio, des géologues des CDC ont aussi détecté du méthane dans des nappes phréatiques à des concentrations proches de la limite d'explosivité.
Les inquiétudes se renforcent alors que la presse spécialisée américaine se fait régulièrement l'écho de nouvelles techniques de fracturation hydraulique. Les géants du parapétrolier, Schlumberger, Halliburton, Baker Hugues testent depuis quelques mois des dispositifs permettant de faire éclater des roches plus dures ou d'extraire davantage d'hydrocarbures qu'avec les techniques classiques de fracturation.
En France, comme souvent en matière énergétique, le débat risque de voler bien bas. Le 17 janvier, pour protester contre le
colloque annuel sur l'énergie du député François-Michel Gonnot (au cours de laquelle une table ronde sera consacrée à l'exploration en Europe des gaz de schiste), diverses organisations écologistes et anti-gaz de schiste organisent un «contre-colloque», à quelques centaines de mètres de là. En réponse, le député UMP, par ailleurs président du conseil d'administration de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs, assimile, sur son
blog, ses contradicteurs à des
«terroristes».
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Faites gaffe, je lâche une bombe ! c'est à cause des gaz... didonc, j'aime bien être dans le camp des "résistants", moi..."saboter" en ayant le droit de se réunir au sénat et au CR, en république, à la même date, même heure... il en faut peu pour nous l'énerver le gars, faut lui dire de se mettre à l'homéopathie...ignatia amara 9 ch 3 granules matin midi et soir.... ;-)))))http://gonnot.over-blog.com/article-les-ecolos-veulent-saboter-mon-colloque-96719524.html
Des écolos, plus ou moins organisés mais surtout très extrémistes, se déchaînent sur internet depuis des semaines pour saboter mon colloque annuel sur l'énergie qui se tiendra à la Maison de la Chimie, à Paris, le mardi 17 janvier.
Je les remercie bien sûr de cette publicité nationale et gratuite qui va permettre à cette manifestation de remporter, cette année, son plus grand succès médiatique mais aussi de fréquentation.
Alors, qu'est-ce qui gêne les écolos dans mon colloque ? Pensez, j'ose vouloir mettre sur la table, avec les meilleurs professionnels et les meilleurs experts du secteur, les vraies conséquences de l'arrêt de 24 réacteurs nucléaires voulu par la gauche d'ici à 2020.
Pensez encore, j'ose demander, dans une autre table ronde, au gouvernement et aux professionnels de faire le point sur l'exploration en France et en Europe des gaz et huiles de schiste, six mois après l'interdiction de la fracturation hydraulique.
Ces extrémistes ont donc décidé d'empêcher mon colloque d'avoir lieu. Je les préviens que cela ne va pas être si facile que cela…
Ils ont aussi décidé, avec la complicité des socialistes du Conseil régional d'Ile-de-France, de tenir un contre colloque ! Qu'ils fassent ! La démocratie, c'est le débat ! Moi, je ne suis pas un terroriste comme tous ceux qui, actuellement, me menacent sur internet !