En diffusion suite à votre article nauséabond, j'utilise mon droit de réponse et liberté d'expression, langue verte et 100% NATUREL MADE IN FRANCE, transmis sur mon réseau social à mes amis ( mais bientôt sur mon blog à 28 000 visites/mois ) :
"si les "écolos"- qui ne sont pas au pouvoir, ni dans les lobbys, ni ailleurs- sont des assassins, des bobos, les pires malfaisants que la planète et la France n'aient jamais connu, l'article paru dans la presse et rapportant ces propos est sans doute l'archétype même du mauvais sens, et champion du monde de la culture de la connerie en bros. Décoré ou pas, il mérite un pesticide d'or du MOMAGRI. Dommage, il ne fait pas partie des agris qui se sont suicidé, ou ont un cancer, des fermes qui ont été spoliées."
http://www.buvettedesalpages.be/2012/02/gilbert-bros-les-malfaisants-et-le-bon-sens-paysan.html
Gilbert Bros : les malfaisants et le bon sens paysan
www.buvettedesalpages.be
par Gilbert Bros Président de la chambre d'Agriculture de Haute-Loire Gilbert Bros "Officier dans l'Ordre National du Mérite" « Ce sont ceux qui détruisent l'économie et les emplois, qui ruinent la France. Je veux parler des écolos: Directive nitrates, réglementation phosphore, épandages des effluen...
Signé une écolo bobo au porte feuille rural pour la défense du droit des paysans et des consommateurs, à compte découvert au crédit agricole, votre "cher ami "pour qui le bon sens près de chez vous est d'endetter les fermes dans un modèle productiviste en hors sol, une écolo bobo mère de famille, engagée et consommatrice responsable en lutte contre les multinationales qui ont programmé :
- la disparition des paysans avec la stérilisation des terres fertiles par la chimie, par les biotechnologies, par les plantes synthétiques et la viande en cellules souches fabriquées ( et non cultivées) en labo par des psychopathes,
- la cancérisation et la leucémisation du peuple et des enfants de la patrie et du monde,
- la pétrochimie qui a décidé de spolier la terre et le peuple souverain de ses droits les plus élémentaires,
- la spéculation boursière sur les denrées alimentaires et les terres.
Je ne salue pas vos propos s'ils n'ont pas été déformés par la presse, mais je vous décore au nom des victimes nombreuses dont :
- des enfants de paysans atteints de malformations et de leucémies,
- de tous nos enfants atteints d'allergie au gluten ( dûes aux "variétés" hybrides de blés modernes),
- des suicidés,
- des ruinés,
- des malades,
- de nos poissons de rivières devenus incapables de se reproduire, tout comme des hommes et des femmes homotoxicus,
- et puis une mention spéciale à tous les résistants et à toutes les victimes de l'agent orange, du gaz moutarde, et du zyclon b,
- des victimes des guerres qui ont vidé nos campagnes pour servir de chair à canon aux eugénistes, banquiers et nantis, décimés avec les produits qui sont devenus des "fertilisants" et ont fait exploser les "rendements" et les pathologies et maladies,
- mais aussi le nombre de victimes dans cette guerre faite au vivant, au droit de se nourrir, à l'autonomie alimentaire des peuples. A cette guerre d'arme alimentaire. 400 % en plus de malades de cancers et d'alzheimer et obésité / malbouffe
Vous avez trouvé votre bouc émissaire écolo.
Vous n'êtes pas à la hauteur de vos responsabilités.
Demandez aux câbles de wikileaks, aux intérêts étrangers d'outre atlantique, à la FNSEA qui a tué l'agriculture de MA FRANCE.
Fière d' être rurale, écologiste ( c'est à dire pour la véritable agriculture naturelle qui nous a nourri depuis des millénaires avant la chimie ), petite-fille de résistant lotois aux pires collabos pour qui le "juif", le communiste, le gauchiste, l'homosexuel et la race dite inférieure étaient désignés et responsables de tous les maux.
Je dénonce l'hypocrisie. Je dénonce l'assassinat. Je dénonce la corruption. Je dénonce le crime.
Publié le 27/02/2012 | 17:39 , mis à jour le 27/02/2012 | 18:02
Denis, 48 ans, membre de l'association Phyto-Victimes, au Salon de l'agriculture, lundi 27 février.
(JACKY NAEGELEN / REUTERS)
Une quinzaine de personnes atteintes de maladies dues, selon elles, aux pesticides ont manifesté lundi 27 février, au Salon de l'agriculture, à Paris. Elles demandent le classement de ces affections en "maladies professionnelles" et le retrait des produits dangereux.
"L'objectif est de montrer qu'il y a plus de victimes que ce que l'on pense", a expliqué Paul François, président de l'association Phyto-Victimes, et auteur d'une première judiciaire en France en remportant, le 13 février, son procès contre le leader mondial de l'agrochimie, Monsanto. La justice a reconnu que la firme était "responsable" d'une intoxication à l'herbicide subie par ce céréalier charentais, qui l'a obligé à interrompre son activité pendant près d'un an.
Les agriculteurs dénoncent une "omerta"
Des agriculteurs, ainsi que les veuves de quatre d'entre eux, mais aussi des dockers et des employés d'entreprises agroalimentaires, qui manipulent les pesticides, se sont retrouvés devant le stand de l'Union des industries de la protection des plantes (UIPP), qui représente les industriels des pesticides. La Confédération paysanne (CP) estime, dans un communiqué, qu'il est "urgent de s'engager sur la voie de la réduction de l'utilisation des pesticides", dont la "consommation a augmenté de 3% depuis 2008 alors que l'objectif est de la réduire de 50% d'ici 2018".
Pour l'instant, la Mutuelle sociale agricole n'a reconnu "qu'une petite cinquantaine de cas" de maladies professionnelles en lien avec les pesticides, selon Phyto-Victimes. "Il existe une omerta chez les médecins et les agriculteurs. Nous ne voulons pas mettre les paysans les uns contre les autres : ceux qui font du productivisme sont victimes", eux aussi, des pesticides, souligne Jacky Ferrand, un viticulteur qui a perdu son fils de 41 ans, également viticulteur, victime d'un cancer de la vessie dû aux pesticides, affirme-t-il.
"Par nature, tout produit peut être dangereux"
"On a joué aux apprentis sorciers pendant des années. On nous a dit que les produits n'étaient pas dangereux", dénonce l'homme, pour qui les conseils de protection des fabricants sont impossibles à mettre en œuvre : "Vous me voyez faire mon job au milieu des vignes avec un scaphandre ?" Pour Paul François, "les agriculteurs sont prêts à changer leurs méthodes, il faut leur en donner les moyens et que les firmes s'y mettent aussi".
"Par nature, tout produit peut être dangereux (…) Il faut réagir au cas par cas", a répondu Jean-Charles Bocquet, directeur général de l'UIPP. "75% des produits qui étaient disponibles dans les années 1990 ne sont plus aujourd'hui sur le marché", s'est-il défendu.
Une réunion avec le cabinet du Premier ministre, François Fillon, sera organisée "dans la semaine", a indiqué un de ses membres, présent sur le salon. Ce pourrait être mercredi, selon Le Nouvel Obs, qui rapporte que Dacian Ciolos, commissaire européen en charge de la Politique agricole commune, leur a également "donné rendez-vous à Bruxelles à une date encore indéterminée".
FTVi avec AFP